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meurtres pour rédemption giebelThriller

Meurtres pour rédemption – Karine Giébel

2 février, 2014

Meurtres pour rédemption Karine GiébelLes larmes ruissellent encore sur mes joues tandis que j’attaque la rédaction de cette chronique. Meurtres pour rédemption de Karine Giébel est une lecture qui m’a brisé le cœur. Comment trouver les mots pour dire… ? Pour exprimer la puissance de ce roman ? Pour justifier les heures passées à pleurer, à voir larmes et encre se mêler en un magma noirâtre ? Pour expliquer mes yeux en permanence rouges et gonflés ? Pour raconter que cette histoire m’a atteinte en plein cœur, en pleine tête, en plein ventre ? Que je n’ai qu’une seule envie, quelques minutes après avoir refermé la dernière page de Meurtres pour rédemption : m’allonger et souffrir en paix ? Attendre que Marianne s’éloigne, que l’image de Daniel et Franck s’estompe dans mon esprit… Attendre le temps nécessaire pour oublier et reprendre pied dans la réalité, dans ma réalité. Comment vous dire tout cela ? Comment vous parler de ce roman inoubliable et surpuissant, d’une envergure quasi inégalée ? Je peux dire sans mentir que je n’avais pas été aussi bouleversée par une lecture depuis très longtemps. Une lecture suffocante et éprouvante, qui a noué ma gorge et fait naître une boule dans mon estomac. Une lecture qui a réussi à ébranler certaines de mes convictions les plus profondes et intimes. Une lecture insoutenable qui m’a dérangée, torturée, malmenée, mais je voulais que ça ne s’arrête pour rien au monde… Meurtres pour rédemption est une véritable torture psychologique et émotionnelle comme je n’en avais jamais connue auparavant. Vibrante et oppressante, on la ressent dans ses tripes, dans sa peau, dans le fond de son âme.

L’écriture de l’auteur, nerveuse, incisive, franche et très directe nous offre un roman d’une noirceur délicieusement insupportable. Karine Giébel égrène des phrases courtes, percutantes et ironiques tout au long de son œuvre de mille pages. Pas d’autre choix que celui de se laisser comprimer et émouvoir par Marianne, cette meurtrière sensible à l’instinct incontrôlable, ce monstre attendrissant qui n’aspire qu’à la liberté et à la rédemption. Marianne, cette femme incroyable qui possède ses forces et ses faiblesses, cette boule de désespoir et d’agressivité qui sait nous troubler, éveiller notre colère, notre indignation, mais aussi notre compassion et notre amour. Marianne, cette femme impulsive, provocante et têtue que l’on a souvent du mal à comprendre, et qui pourtant ne cesse de nous surprendre et de nous toucher.

J’ai lu et pleuré à m’en éclater les yeux. J’ai souffert. Meurtres pour rédemption parle de haine, de douleur, de remord, de violence, mais c’est avant tout une merveilleuse ode à la vie, à l’amour et à la liberté. Ce fût une expérience de lecture éreintante, certes, mais surtout unique et grandiose, d’un réalisme à couper le souffle ! Je me sens si triste… maintenant il va me falloir un peu de temps pour digérer ce roman qui est un des meilleurs que j’ai jamais lus.

« Tous les soirs se ressemblent, les nuits aussi. Et les jours, c’est pareil.
A quoi se raccrocher alors ?
Aux repères, ceux qui rythment le temps, évitant qu’il ne devienne une hideuse masse informe.
S’y cramponner, comme à des arbres au milieu d’une plaine infinie, à des voix au cœur du silence.
A chaque heure, quelque chose de précis. Gestes, odeurs ou sons.
Et, au-delà des murs, le train.
Décibels de liberté venant briser l’aphasique solitude. Celle-là même qui vous dévore lentement, morceau après morceau. Qui vous aspire sans heurt vers les abîmes du désespoir.
Le train, comme un peu du dehors qui s’engouffre en vous jusqu’à l’âme, se moquant des barrières, de l’épaisseur du béton ou de dureté de l’acier.
Fuir avec lui.
Voyages imaginaires qui transportent ce qu’il reste de soi vers des destinations choisies.
S’accrocher aux wagons, prendre le train en marche.
Il ne reste plus que ça.
Là, au cœur de la perpétuité. »

« Je paye. Pour ceux qui n’ont plus rien. Pour ceux à qui j’ai ôté la vie. Ou l’envie de vivre.
Elle sentit des tonnes lui dégringoler sur les épaules, tapa du poing contre le mur et s’affronta à nouveau. Ils ne m’ont laissé aucune chance, m’ont rayée de la carte. De leur monde… Mais j’existe encore, je suis Marianne. Personne ne peut me vaincre. Ca leur ferait trop plaisir que je cesse le combat, que je me couche avant la fin ! Non, je ne leur ferai pas cette joie. Ils m’ont enfermée parce qu’ils ont peur de moi, de ce que je suis. Et je continuerai à leur faire peur. Aussi longtemps que je respirerai, je serai une menace, une épine dans leur pied, une maladie incurable. »


Vous pouvez également découvrir d’autres romans de Karine Giébel : Purgatoire des innocents, De force, Jusqu’à ce que la mort nous unisse, Satan était un ange, Juste une ombre et Maîtres du jeu.

by J. 
29 commentaires

A propos de J.

Amoureuse des mots et des livres. Affectueuse, gourmande, impulsive, timide et un peu craintive... J'aime le Web, les chats, la photographie, le piano, les Spéculoos, la rhubarbe, l'Italie et les feux d'artifices.

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Commentaires

  1. Carnet de lecture a écrit: 3 février, 2014 à 9 h 39 min

    Voilà une critique qui donne envie de lire ce livre (n’est-ce pas ce genre de sensations que l’on recherche en se plongeant dans un nouveau livre?) mais qui fait aussi peur car on doit en sortir bien chamboulé… Quoi qu’il en soit, je vais le lire ce roman policier! Merci de m’y avoir incité :-)

    Répondre
  2. Bouchon des bois a écrit: 3 février, 2014 à 15 h 42 min

    JE LE NOTE ! Il me le faut. Non mais, quelle chronique ! Magnifique <3

    Répondre
  3. Pastelle a écrit: 5 février, 2014 à 15 h 45 min

    Je l’ai photographiée aux quais du polar, là :
    http://www.lumieresdelombre.com/albums/quais_du_polar/photos/74407414-karinegiebel_12_01_04_6068.html
    Et après lecture de son livre je me suis bien interrogée sur la question de savoir comment un visage aussi angélique pouvait renfermer des idées aussi noires…

    Tu me diras, ma perplexité a été aussi grande devant Maxime Chattam, un amour de mec qui écrit des choses épouvantables, et puis en fait devant tous ces auteurs, ou presque ! :)

    Le livre de Karine Giebel que j’ai lu n’était pas celui là cependant. Tu me donnes envie d’essayer, mais j’ai quand même un peu peur de pleurer…

    Répondre
  4. Karine GIEBEL a écrit: 6 février, 2014 à 18 h 38 min

    Votre chronique me touche énormément… Merci

    Karine Giébel

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    • Livresse des Mots a écrit: 6 février, 2014 à 19 h 59 min

      Oh ! Je suis très émue de votre passage par ici Karine, et merci pour le petit mot. Vous avez gagné une fidèle lectrice avec votre excellent roman « Meurtres pour rédemption » ! ;-)

      Répondre
  5. Johanne a écrit: 8 février, 2014 à 10 h 53 min

    Ce n’est pas mon genre de lecture mais ta chronique donne vraiment envie de le lire alors pourquoi pas :).

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  6. Mavilyly a écrit: 10 février, 2014 à 19 h 58 min

    Lorsque j’ai vu cette couverture sur ton blog je me suis empresser de lire ta chronique. C’est un livre qui est malheureusement peu connu et qui pourtant est une vraie perle dans son genre.
    J’ai acheté ce livre complètement au hasard lors d’une promo 2 livres achetés le 3ème offert et franchement quelle surprise.
    Me détacher de ce livre a été un vrai supplice, même dormir me semblait moins important que de le finir.
    Comme tu dis il est très dur et on ne peut qu’être bouleverser après, on met souvent du temps à s’en remettre et avant de relire un livre un certain temps s’est écoulé. Mais plusieurs mois après ma première lecture, je m’y suis replongée (non je ne suis pas sadique avec moi-même) et cette deuxième lecture m’a permis de voir encore d’autres détails, d’autres sentiments. Et je n’exclus une troisième lecture un de ces jours.
    Désolée pour ce très long commentaire mais le livre de Karine Giébel le mérite vraiment!!!!

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  7. yuya46 a écrit: 15 février, 2014 à 13 h 16 min

    Rolala que tu donnes envie de le découvrir !! Je vais me laisser tenter !! Merciiii

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  8. ALVES Alexandre a écrit: 20 février, 2014 à 16 h 05 min

    Habituellement, je ne suis pas trop branché Polar… mais ta magnifique chronique me pousse à découvrir celui ci, je t’en dirais des news lorsque je l’aurais finit !

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  9. Flo Tousleslivre a écrit: 16 mars, 2014 à 17 h 25 min

    J’ai adoré ce livre, un sujet qui n’est pas vraiment commun et qui m’a beaucoup plu et surtout touché !!! j’ai adoré ces presque 1000 pages, un très gros coup de cœur, encore un !!!

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  10. Riz-Deux-ZzZ a écrit: 27 mars, 2014 à 13 h 57 min

    Perso, j’ai attendu plusieurs jours pour écrire ma chronique…
    Et je te rejoins sur ce sentiment de souffrance qu’on ressent, comme si on était à la place de Marianne : c’est très fort !

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  11. mel a écrit: 8 février, 2015 à 15 h 14 min

    3 livres lu de giébel, ev évidemment au 3 romans on s’ attend desormais a être complètement possédé par l’histoire (le premier, juste une ombre

    Répondre
  12. mel a écrit: 8 février, 2015 à 15 h 20 min

    J’avais mis une bonne semaine a me sortir du premier roman de giébel, juste une ombre, dont l’histoire m’avait possédée, torturée, ereintée comme tu le dis si bien. En terminant je me suis dis  » plus jamais » et évidemment j’ai replongé dedans 3 fois avec meutres pour rédemption que je viens de terminer. Parce qu’aucun autre auteur ne m’a embarqué comme ça, sans ménagement aucun, sans aucune certitude. Alors c’est peut-être du sadisme au final, mais du sadisme si bien ecris !!! Un maître !

    Répondre
    • Livresse des Mots a écrit: 8 février, 2015 à 17 h 36 min

      Je pense qu’il y a une part de sadisme comme tu dis ! A chaque fois qu’on ouvre un Giébel, on sait qu’on va morfler… et pourtant on y revient toujours !
      Et Meurtres pour Rédemption est un des meilleurs romans que j’ai jamais lus.
      J’en ai d’autres de cet auteur chez moi, et je les couve du regard en pensant aux moments forts que je vivrai avec quand je les lirais … :)

      Répondre
  13. vico a écrit: 4 avril, 2015 à 12 h 48 min

    Première fois de ma vie que j’écris sur un forum pour donner mon avis sur un livre (ou sur n’importe quoi d’autre d’ailleurs)
    première fois de ma vie que je me sens obligée d’aller sur les forums pour voir si d’autres ont ressenti ce que j’ai ressenti en le lisant. Et du coup j’ai choisi de mettre un message sur le votre car c’est de loin la meilleure critique que j’ai lu, et surtout c’est exactement ce que j’ai ressenti aussi.

    C’est mon 3ème livre de Karine Giébel (après juste une ombre et le purgatoire des innocents), ce que j’aime chez elle c’est qu’elle n’y va pas de main morte, moi je n’aime pas les polar/thriller édulcorés. Et donc j’ai acheté « meurtre pour rédemption » en pensant à un nouveau thriller bien ficelé. Mais non… c’est devenu MON livre. Il m’a retourné, je ne le range pas dans la bibliothèque, il reste à mon chevet, je n’arrive pas encore à quitter Marianne… et Daniel. La première chose que j’ai faite en finissant le livre, c’est de relire le début (au moment où je ne m’étais pas encore attachée aux personnages, au moment où j’attendais un thriller qui ne venait pas).
    pfiou, quelle claque, quelle écriture, j’ai pleuré au fond de moi mais j’ai ri aussi, certaines phrases sont tellement bien placées (c’est aussi pour ça qu’on aime Marianne). Ma vie m’a paru bien simple et bien chiante pendant toute cette semaine, j’avais envie de m’enfuir en train moi aussi.
    En général quand je finie un livre, je suis contente, je le range et c’est bon. Lui je vais le relire encore, encore, encore… C’est MON livre. Merci Karine Giébel, et merci à toi pour ta belle chronique.
    Le prochain livre qui m’attends : Chiens de Sang (tjrs Karine Giébel, je compte bien lire à peu près tout ce qu’elle a fait), pour le moment j’attends encore avant de le commencer. Meurtre pour rédemption est encore avec moi !
    Bonne continuation.

    Répondre
    • Livresse des Mots a écrit: 4 avril, 2015 à 15 h 13 min

      Merci infiniment pour ce commentaire qui m’a replongée dans ce fabuleux roman. C’est un livre très fort, très intense, qui retourne. Il m’a fallu du temps pour m’en remettre, pour réussir à en sortir. Je ne relis jamais les livres. Mais je ferais une exception pour celui-là, qui est un des meilleurs romans que j’ai jamais lus.

      Répondre
  14. DANY a écrit: 14 avril, 2015 à 16 h 57 min

    je l’ai acheté à Sanary sur Mer, proche d’où vit notre romancière. Le mot « adoré » n’est pas assez fort pour qualifier mon ressentit. J’aurai voulu rencontrer l’écrivain, lui demander si c’est une fiction ou la réalité, ou un melange des deux. Bref plein de questions. Impossible de poser le livre, s’arrêter, aller voir plus loin ! Merci pour ce chef d’oeuvre, que j’ai déjà prèté à 5 collègues et insité à acheter. J’ai également lu « juste une ombre », très bien mais pas aussi intance.
    C’est le plus beau livre que j’ai lu et pourtant j’en suis une grande consommatrice.

    Répondre
    • Livresse des Mots a écrit: 15 avril, 2015 à 14 h 30 min

      Un des plus beaux livres que j’ai jamais lus aussi, je suis bien d’accord avec toi sur tout ce que tu soulignes dans ton message ! J’ai eu la chance de rencontrer l’auteur dans un Salon, et bien je suis restée muette d’émotion ! Ça valait bien la peine de faire la queue ;) ;)
      Ses autres romans sont très bons aussi, mais je n’y ai jamais retrouvé la puissance de Meurtres pour rédemption.

      Répondre
  15. Megan a écrit: 29 juillet, 2015 à 11 h 10 min

    Je suis en train de lire le livre. Un chef d’oeuvre. Je trouve pas les mots pour decrire ce livre.

    Répondre
  16. CyberHelveticus a écrit: 2 septembre, 2015 à 14 h 44 min

    Cette chronique est si parfaitement fidèle à ce que je ressens après la lecture de cette histoire que j’ai presque l’impression que je l’ai moi-même écrite. Marianne a longtemps hanté mon esprit et ce n’est qu’après plusieurs jours que j’ai pu commencer à lire un autre roman.

    Le « défaut » de Karine Giébel, c’est que les lectures qui viennent après elle sont fades.

    Très content de voir qu’elle ait pris la peine de répondre à cette chronique, c’est une juste récompense.

    Amicalement,
    CH

    Répondre
    • Livresse des Mots a écrit: 2 septembre, 2015 à 20 h 03 min

      Oh, j’avais été très émue de lire le petit message de Karine Giébel ! Je doute qu’elle puisse répondre à toutes les chroniques élogieuses la concernant, alors j’avais vraiment été touchée.
      Par contre, je suis bien d’accord avec toi en ce qui concerne son « petit défaut ». J’ai eu tellement de mal à sortir de ce roman… quand j’y repense, les émotions remontent brutalement à la surface. Une pure merveille… A lire et à relire, encore et encore… !
      Merci pour ton message,
      A bientôt j’espère :)

      Répondre
  17. martine a écrit: 10 novembre, 2015 à 11 h 09 min

    je suis en train de le lire
    les 10 premières pages j’ai eu du mal à accrocher, mais j’ai continué et je ne le regrette pas
    c’est un livre très prenant et marianne « hante » aussi mon esprit …
    je suis loin de l’avoir fini, et je savoure chaque instant

    Répondre
    • Livresse des Mots a écrit: 11 novembre, 2015 à 14 h 34 min

      Profites en… ! J’aimerais tellement pouvoir le relire et le redécouvrir comme si c’était « la première fois »… Une merveille ce roman, bonne lecture !

      Répondre
  18. Cindy a écrit: 16 août, 2016 à 8 h 36 min

    J’ai terminé ce livre hier soir. Lu en 3 jours.
    Tellement captivant, bien écrit.
    J’ai pleuré, aussi.
    Un de ses meilleurs livres !

    Répondre
    • Johanne a écrit: 16 août, 2016 à 12 h 08 min

      Merci pour votre retour ému sur ce livre. Pour moi c’est clairement son meilleur, avec Juste une Ombre en seconde position.
      Meurtres pour rédemption est un des romans les plus forts qu’il m’ait été donné de lire : une telle puissance émotionnelle et psychologique, j’en vibre encore, des années après l’avoir lu…

      Répondre
  19. Basilic a écrit: 11 janvier, 2017 à 15 h 46 min

    A lire tous ces commentaires j’en ai les larmes aux yeux. ça me permet de revivre ces moments intenses que j’ai eu pendant la lecture de ce chef d’oeuvre. Tout est dans ce livre, il nous fait voir et apprécier la vie différemment. J’avais plus qu’adoré Purgatoire des innocents mais alors là, Meutres pour rédemption, pas de mot pour le décrire. ça vous met une claque monstrueuse. Effectivement, le problème et il est de taille : comment lire un livre après celui-là ! tout va me sembler si insipide maintenant.

    Répondre
    • Johanne a écrit: 11 janvier, 2017 à 17 h 38 min

      Merci pour votre commentaire ! Des romans de Karine Giébel, j’en ai lus un paquet, mais celui-ci reste de très loin mon préféré. Je sais que je le relirai un jour… dans l’espoir de ressentir les mêmes émotions douloureuses et intenses qu’au cours de ma première lecture…

      Répondre

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